Juliette Pellissier
Je suis autrice (essais et fictions), psychothérapeute (docteure en psychologie), chercheuse, formatrice.
Pour de plus amples informations sur mes livres, mes titres universitaires, mon parcours, mes activités passées, etc., il suffit de regarder tout ce qui traîne sur l’internet. Des biblio et des articles se baladent par-ci par-là, et beaucoup de ressources se trouvent sur les sites indiqués dans le petit texte de la page d’accueil de ce site.
Actuellement, je mène de front plusieurs activités.
Une activité de psychothérapeute, sur Paris et le sud de la Seine-et-Marne.
Aux côtés des accompagnements individuels et des supervisions, je maintiens quelques accompagnements d’équipe, en analyse de la pratique et en réflexions-actions sur les situations de soins complexes (éthique, not.), sur les médiations thérapeutiques et sur la manière de concevoir des environnements prothétiques (qui compensent certains symptômes au lieu de les majorer, comme c’est le cas de tous les environnements inajustés).
Je maintiens aussi une activité de recherche, de manière indépendante, principalement autour de deux axes : ceux abordés dans mon dernier livre, La fabrique des surdoués, et sur les pistes qu’ils ouvrent quant aux pédagogies et parentalités aptes à ne pas blesser les intelligences-sensibilités atypiques et anormées, et ouvertes à la diversité des orientations et identités. Ceux portant sur les accompagnements et approches (psychothérapeutiques notamment) les plus pertinentes pour les personnes trans et non-binaires (approche trans-affirmative en particulier).
Régulièrement, des formations, des conférences, des ateliers, des cours, sur ces sujets.
D’autres formes de recherche, de curiosité et de sensibilité (toujours en mode électronne libre, ce qui m’amène souvent à me balader aux frontières de la psychologie et de la sociologie, mais aussi de la pédagogie et des études de genre), sont plus précisément abordées dans la page de ce site consacrée à ma pratique de psychothérapeute.
Et quelques activités militantes, en tant que psy féministe (membre de l’ASQF et de Pour une MEUF), mais aussi en lien avec l’Espace Santé Trans et Acceptess-T, dont le copilotage d’un groupe de parole destiné aux personnes trans et/ou non-binaires de plus de 30-40 ans, et des réflexions-actions autour des questions d’âgisme, dans les communautés LGBTQIA+ et ailleurs. Et autour de l’adultisme. Et du non-suicidisme. Et de la construction, avec d’autres psys situé·es, d’une autre psychologie…
Et dès que je peux, l’écriture…
Et puis évidemment d’autres espaces et d’autres chemins, mais qui relèvent de l’intime (1) – même si je crois qu’une part de l’intime est aussi politique et que la neutralité n’est le plus souvent qu’un prétexte à la soumission, molle ou béate, au « patriarcat capitaliste » (bell hooks).
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(1). A ce sujet, il y a quelques années, une revue de géronto m’avait demandé un article sur l’intimité. Plutôt que d’en proposer un classique, sur « l’intimité », j’avais tenté de laisser la voix à des intimités.