« Il pose un sérieux problème de concurrence aux services privés de soins à domicile et même aux maisons de retraite, qui notent un recul des demandes de places.
Depuis quelques années, des femmes issues d’Europe de l’est émigrent et occupent ce genre d’emplois auprès des familles. L’Autriche estime à plus de quarante mille personnes le nombre de ces soignantes « au noir », venues de Lituanie, de la République tchèque, de Pologne. Cette situation est largement due au coût très élevé d’une place en maison de retraite – de trois à quatre mille euros par mois en Allemagne – voire des soins permanents à domicile – six mille euros.
Par ailleurs, les qualités humaines de ces soignantes illégales sont souvent jugées par les familles bien meilleure que celle des professionnels, qui « en soins ambulatoires, n’ont même pas le temps d’une petite conversation », constate un expert. (...) »
AJOUT août 2007 : Voir également cet article paru en août 2007 sur le site d’agevillage.